Je me présente:
Nom: *Défense*
Prénom: *Secret*
Âge: 22 ans
Habitat: Un deux-pièces ._.
Sexe: /
Comment avez vous découvert ce forum ? J’aimerais bien dénoncer mais ce n’est pas mon style.
Les consoles/RPG auxquels je joue: Playstation, Playstation 2, DS. / Lucifer’s Call, Persona, Final Fantasy (et Tactics) etc.…
Mon expérience au RP: Je fais du RP depuis mes 17 ans et ai exploré plusieurs contextes différents. En général, j’ai un niveau assez bon.
Mon personnage:
Nom: Cyskad
Prénom: Yalitz
Âge: 21 ans
Race choisie: Yuko
Physique et caractère:Yalitz mesure un mètre quatre-vingt-seize (1,96m) pour un poids avoisinant les quatre-vingt onze kilogrammes et est doté d’une carrure de jeune athlète à la musculature présente mais pas surfaite. Sa peau, sans cicatrices d’aucune sorte, est de couleur pêche, permettant de remarquer la teinte dorée tape-à-l’œil de son regard, souligné par un petit grain de beauté sous l’orbite gauche. Il arbore une chevelure d’un bleuté vert (teinte que prennent également les plumes de ses coudes) qu’il coupe lui-même. Côté vêtement, il apprécie l’aisance que confère une tunique sans manches d’une pièce. La couleur orangée n’est pas spécialement voulue, il s’avère simplement que c’était la moins cher de la sélection vestimentaire qu’il avait faite. Il la porte sur un pantalon grisé qui s’arrête à mi-mollet et, n’aimant pas sentir ses pieds trop serrés, a choisi de ne se chausser que de sandales marrons. Le collier large et les lunettes de protection qu’il arbore sont un cadeau de sa petite sœur et ont donc une valeur sentimentale… A défaut d’en avoir en Ñeos.
La première chose qu’on apprend à son sujet, et dont le Yuko ne se cache pas, est qu’il est économe voire parfois totalement radin. S’il a la possibilité d’éviter de débourser trop d’argent, il le fera. Quelque fois manipulateur, il lui arrive de pousser les gens à payer pour lui, sans toutefois aller jusqu’à ce qu’on appelle un acte criminel. Faire usage de bluff ou de sous-entendus pour pousser quelqu’un à agir d’une façon qui l’arrange fait partie de sa façon d’être. Il « souffre » également d’une fierté telle que, même déstabilisé ou triste, il n’ira jamais de lui-même chercher de l’aide ou du réconfort, sauf si c’est pour quelqu’un d’autre que lui. D’un autre côté, cette même fierté peut lui jouer des tours puisque s’il se sent attaqué au sujet de ses capacités (un défi par exemple), il a tendance à oublier de raisonner posément. Peu loquace, il préfère éviter de trop fréquenter d’autres êtres pensants mais est paradoxalement quelqu’un de très attentif aux attitudes des autres. Manipuler les mots est son arme principale, arme qu’il base sur la collecte du maximum d’informations possibles pour ne pas se retrouver à court d’idées. Cependant, s’il doit se battre, il le fera, avec toutefois un agacement visible. Son défaut principal reste… Qu’il n’a aucun sens de l’humour…
Histoire: Un père Yuko, une mère Yuko, une station orbitale, un petit commerce de quartier (le genre brocante vendant tout et n’importe quoi), un jeune Yuko de trois ans qui regardait avec curiosité les jumeaux que sa mère venait de ramener avec elle. C’est dans ce cadre que commence l’histoire banale de Yalitz, l’aîné de la famille Cyskad. Né d’un couple stable, avec ses hauts et ses bas, l’enfant grandit dans une atmosphère « classique » : un père occupé à tenir la boutique, une mère allant chercher des clients, des cadets agaçants (surtout la fille, Yridh, s’amusant à faire des nœuds aux couettes de son frère Maeryn après l’avoir vêtu d’habits de poupée géante). Rien de particulier à signaler en somme.
La famille ne vécut pas de drame particulier, à part une querelle de voisinage lorsque Maeryn décida que la sonnette du vieux Solar ronchon d’à côté avait un bruit plus joli que la leur. Rien de particulier, sauf quand on s’amuse à la faire sonner au beau milieu des temps de repos de ce cher voisin et que le seul qui n’ait pas déguerpi à temps soit justement le seul innocent des environs, Yalitz. Le problème avec les Solars en général est que, même âgés, ils ne se laissaient pas facilement distancer… Et que même des explications et des excuses n’arrivent pas toujours à calmer le jeu. Résultat ? Un Yuko de douze ans recouvert de bleus, non pas parce qu’il s’est fait taper dessus mais parce qu’il a du se faufiler dans des passages étroits pour le semer. A partir de ce jour, le préadolescent prit une grande décision : toujours s’informer au maximum pour éviter, par exemple, de plonger tête la première dans un conduit d’ordures… Plein.
Quinze ans déjà et d’un commun accord (à l’insu du premier concerné cependant), il fut décidé que Yalitz reprendrait la boutique de la station. Pourquoi une telle décision ? Tout simplement parce que l’addition « publicité et démarche » avait amené suffisamment de clients à la boutique pour que le couple de propriétaires (les parents), décident d’ouvrir une succursale sur une planète proche. Voulant partir en couple soudé, et au diable les enfants, ils prirent cependant leur temps pour enseigner les rudiments de la vente à leur aîné.
A partir de ses dix-huit ans, Yalitz était capable de gérer la petite entreprise familiale et sa capacité à convaincre un acheteur indécis ne faisait que confirmer les hypothèses parentales. Il y avait cependant un petit couac dans la symphonie familiale : Yalitz n’avait pas la moindre envie de rester enfermé dans une boutique, à tenir la caisse et voir encore et toujours des personnes indécises ou malpolies. Il tenait cependant bon, ayant une « botte secrète » : contrairement à lui, les jumeaux étaient fascinés par le « tching » de la caisse, le « gling » de la clochette holographique lorsque la porte coulissante laissait passer des clients potentiels. Il fallait bien admettre qu’en prime, le sourire en stéréo des cadets mettait les acheteurs à l’aise. L’air de rien, laissant ses parents partir tenter leur chance, le jeune Yuko fit partager son savoir à ses frères et sœurs, et dut se montrer patient. Patient ? Eh bien oui, d’un côté, il fallait attendre que les « petits » soient assez autonomes pour gérer la boutique seuls mais aussi assez âgés pour pouvoir légalement en être responsables. Patience, patience, la liberté n’était plus si loin que cela…
Vingt-et-un ans… Enfin, cela n’était pas très important, non. Ce qui l’était bien plus était que les jumeaux étaient enfin prêts à reprendre le flambeau. Traduction ? Un Yuko enfin capable de voler de ses propres ailes (façon de parler). Et les parents dans cette histoire ? Installés sans doute quelque part sur une planète quelconque… Ingrat ? Peut-être…
D’un autre côté, j’ai passé assez de temps coincé derrière un comptoir et à rédiger cette stupide note sur ma vie pour avoir enfin le droit de la vivre cette vie !